Ce samedi 20 octobre à Bourg-en-Bresse devant la librairie du théâtre avec mes ouvrages et dedans Serge Joncour qui dédicace son dernier livre (très beau) qui m’inspire un aphorisme à l’envers : « Le faire, sans l’amour. » Merci Serge.
Avoir le don de solitude.
Ce samedi 27 Octobre, vu the father à l’hôpital de Montbrison. Allongé sur son lit, les yeux clos, la peau de son visage étonnamment lisse et belle, sans rides, comme si la mort avait déjà commencé à lui faire un lifting…
Sa main qui parle et les anges autour, qui attendent.
Une résidence de fin de création possible en 2013 au Chambon-Feugerolles avec l’équipe du « Zoo ». Joie négative d’avoir encore une chance d’exister sur scène.
Toutes ces femmes qui pourraient m’aimer et qui ne le veulent pas.
La psychose : une fuite en arrière. C’était ma minute de psychologie de comptoir.
Plaisir un peu trouble d’être un écrivain fantôme et un chanteur de pacotilles.
La nuit, je rêve que je dors.
Mon cerveau est un marécage de ciels bleus.
« Jamais avec un autre homme elle a été si proche »
Serge Joncour (L’amour sans le faire)
Cette petite lumière de Joubert pour éclairer ce mois d’Octobre :
« Quand je luis… je perds mon huile. »
Jean Lenturlu